Un œil averti peut y déceler quant à lui les premiers signes d'une transformation profonde, celle qui conduira cet amoncellement de petites choses qui ne ressemblent à pas grand-chose, de presque rien à quelque chose...
Peut-être compliqué comme idée pour un samedi soir.
Il faut dire que lorsqu'on vient de passer trois heures à rechercher, écouter et comparer des bruitages de crashs d'avions, la réflexion devient un exercice douloureux.
Et s'il en existe quelques uns qui ont cette oreille, combien d'entre eux seraient prêts à sacrifier un samedi soir pour enregistrer le son d'un crash entre deux avions Blériot de 1910 ?
...C'est bien ce que je pensais.
Vendu pour le Fokker.
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